Macaron mon amour
Il y a déjà un bout de temps (le w-e du 1er mai), quand la Bretonne était parmis nous, on a décidé de jouer aux Cyril Lignac de Moselle. Nous nous sommes lancées dans la confection de macarons vu qu'elle m'avait offert une balance au gramme près et que la confection de ces friandises ne supporte pas l'à peu près (sacré caractère le macaron, si j'avais su j'aurais pas venu fait des madeleines).
Alors samedi direction la grande surface pour acheter les ingrédients exotiques recommandés : colorants, vanille en poudre, beurre salé (oui, Bretagne oblige, nous avions décidé de faire des macarons caramel beurre salé). Enfin bref, quasiment tout ce qui était listé sur la très bonne recette du site Pure Gourmandises (cliquez et trouvez plein d'autres recettes qui ont l'air terribeul).
Samedi soir ce fut fiesta mais je n'ai pas oublié en rentrant à 3h du mat de séparer mes blancs des jaunes et de laisser les premiers à température ambiante (paraît que c'est mieux disent les puristes).
Dimanche matin petite panique : il n'y a pas de pile dans le balance ! Et je n'ai pas de pile plate 9V à la maison. Bon ben tant pis, on se lance avec le verre mesureur. Si ça foire on pourra toujours prétendre que c'est notre côté débutant.
Pas de cours chez Lorette malheureusement (comme Sophie) et donc les premières coques sont un peu cabossées.
Mais après l'intervention de Bogoss (qui avait mystérieusement disparu faire du vélo quand il nous a vu sortir les ustensiles) et ses bons conseils, les autres fournées sont plus présentables.
Pendant que je m'occupais des coques, macaronnées avec amour, Anne s'est attelée à la crème au caramel beurre salé. Bien qu'il y eu un "raté" dû à une mauvaise lecture de la recette (sucre mélangé à la crème tout de suite et non pas caramelisé à sec), la ganache était DI-VINE
Et les coques bien cuites ! Matez moi cette colerette !
Je ne vous parle pas du montage de pro
Et voilà le travail !
Ils ont disparu en une journée mais je sens que je vais remettre ça samedi chez mes parents !